mercredi 27 novembre 2013

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dimanche 24 novembre 2013

(Contribution) Le point sur la recherche spatiale arabe

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Depuis le premier lancement d'un satellite artificiel, en 1957, de nombreux pays ont rejoint le club des pays disposant de capacité spatial, et cela dans tous les domaines que ce soit les télécommunications, l'observation, la météorologie, l’espionnage etc.......
Concernant le monde arabe, la première utilisation concrète de cet outil, fut la famille de satellite de télécommunication civile ARABSAT dominé par l'Arabie Saoudite, avec pléiade de satellites de télécommunication. Ce n’est que bien après, que  l'Egypte lancera son propre système NILESAT, suivie par les Emirats Arabes Unis avec YAHSAT et THURAYA, plus récemment le Qatar s'est lancé dans ce domaine avec le satellite ESSAHIL en coopération avec EUTELSAT.

Imagerie satellitaire, un secteur hautement stratégique

L'imagerie satellitaire, qu'elle soit optique ou radar, à usage civil ou militaire, elle fut pendant des décennies la chasse gardé de quelques grandes puissance. Mais depuis environ une décennie, avec la démocratisation des systèmes spatiaux et une baisse des coûts de développement et réalisation, de nombreux pays à travers le monde ont acquis, ou développer des systèmes de d'imagerie et reconnaissance, de diverses résolutions et répondant à des besoins divers, ainsi le monde arabe n'a pas été absent de cette dynamique et certains pays ont mis les deux pieds dans le plat :

EGYPTE :
Egyptsat 2
Ce pays a s'est lancé il y a quelques années, en mettant sur orbite en 2007, un premier satellite EGYPTSAT-1, acquis auprès d’une firme ukrainienne. Il fournissait des images d'une résolution moyenne de l'ordre de 7.5 mètres, malheureusement pour des causes inconnues, le satellite sera perdu en 2010, au lieu des 5 ans de services prévus, néanmoins en 2012 l'Egypte a signer un contrat avec les russes de RKK ENERGYA, pour la fourniture d'EGYPTSAT-2 avec transfert de technologie, un satellite à haute résolution fournissant des images de 1 mètres en panchromatique et 4 en multispectrale, le satellite aura une masse d'une tonne et une durée de vie prévu de 11 ans, son lancement est prévu pour avril 2014.

lundi 18 novembre 2013

Dubai Air Show 2013, l'Algérie s'intéresse au drone MALE Emirati

Selon Jane's, la délégation Algérienne conduite par le Vice-Ministre de la Défense Nationale et Chef d'Etat-Major, le Général de Corps Ahmed Gaid Salah, s'est longuement attardée sur le stand de la société Emiratie ADCOM, qui développe une large gamme de drones destinés aux marchés export.
Se référant aux propos d'Ali Al Daheri, CEO d'ADCOM, la délégation a exprimé le souhait de commander quelques unités de drones de cette société, en précisant que l'intéret de Gaid Salah se portait sur le Yabhon United 40 Block 5, la version la plus endurante de la gamme.
Cet avion sans pilote aux caractéristiques impressionnantes: 10 m d'envergure, une charge utile de 400 kilos, 120h d'autonomie et la capacité d'emporter des systèmes de surveillance spécifiques (Radars, optronique, systèmes d'écoute ...) ou d'armes, représenterait un véritable saut qualitatif s'il venait à être choisi par l'Armée Algérienne.
Etant parfaitement complémentaire des YiLong chinois en commande par l'Algérie, il permettra de maintenir une capacité de surveillance accrue sur de larges zones du pays et pendant de longue périodes.
Il est rappelé que cet avion sans pilote est actuellement en cours de commande par les forces armées Russes.

vendredi 15 novembre 2013

L’Algérie parmi les pays les plus « écoutés » au monde

Si l’Algérie figure dans ce club assez fermé, ce n’est pas pour les conseils qu’elle administre dans les coulisses de l’ONU ni pour les prouesses diplomatiques, le titre est à prendre au premier degré, Alger attire les grandes oreilles occidentales et ce depuis de nombreuses années.
C’est en épluchant le flot d’informations que commencent à distiller certains organes de presse occidentaux suite aux révélations d’Edward Snowden sur  les activités de l’agence de renseignement électronique américaine NSA, que l’idée que l’Algérie est parmi les cibles prioritaires des agences devient certitude.

mercredi 13 novembre 2013

L'Algérie participe à la 7 émé édition du Circaéte

Comme à l'accoutumée les forces aériennes Algériennes ont répondu présent à l'exercice international de prévention de la piraterie aérienne Circaéte 2013, qui a regroupé cinq pays des deux rives de la méditerranée.
Cette année est marquée par l'absence retentissante des libyens et tunisiens qui étaient des habitués de l'exercice. C'est donc un Falcon 2000 de l'armée de l'air française qui a joué  le rôle de l'avion détourné et qui a fait la grande boucle des pays Ouest-méditerranéens. Résultat des courses, avec avec une coordination parfaite, l'appareil s'est fait intercepté par un Rafale et un Mirage 2000 français, des F18 espagnols, des F16 portugais, des F5 et des Mirages F1 marocains. L'avion simulant un détournement a été très vite intercepté à son entrée dans l'espace aérien Algérien par des Mig 29 qui ont assuré l'interception et le convoyage jusqu'à la rencontre de Sukhoi 30 de l'AAF.
Un document sonore de RFI donne une idée de l'exercice, où il est fait même usage de tirs de sommation par un Mirage 2000 français. D'ailleurs, le pilote du Falcon, laisse filtrer son enthousiasme quant à son interception par un Mig29 Algérien, une première pour lui.
La septième édition de Circaéte, est le fruit de l'initiative 5+5 Défense, qui regroupe les dix pays qui se font face en méditerranée occidentale et qui a pour but la coordination sécuritaire et la lutte contre les trafics et le terrorisme.

vendredi 1 novembre 2013

L'Algérie aura finalement son drone d'attaque

Dévoilés pour la première fois en 2012 lors du Zuhai Air Show en Chine, le Wing Loong («ptérodactyle» en chinois) et son avatar armé YiLong («sabre acéré»), avaient défrayé la chronique dans le cercle très fermé des constructeurs de drones.

 L’avion sans pilote était la copie parfaite du Predator américain et avait la capacité de tirer une grande variété de missiles et de bombes lisses ou guidées ; il affichait sensiblement les mêmes performances que ses homologues américains ou israéliens. Avec ses 14 mètres de long, 17 d’envergure et son moteur à propulsion à l’arrière permettant au drone de soutenir des opérations de surveillance 20 heures durant sur des distances allant jusqu’à 4000 km à une vitesse avoisinant les 400 km/h, il ne coûte que la somme dérisoire d’un million de dollars par système. AVIC, son constructeur, n’a jamais caché son objectif qui est de hisser l’empire du Milieu au rang de premier exportateur de drones armés au monde et détrôner Israël.